EXPOSITION COLLECTIVE ILLUSTRATION(S)

Mar 30, 2021Non classé

Du 15 avril au 8 mai le Souplex accueil  pour la première fois, dans ses  murs une exposition collective, qui présent le travail d’une dizaine d’artistes qui ont répondu à notre appel, et dont les univers ont séduit l’équipe du Souplex.

Venez découvrir la richesse des techniques, des formes et des sujets, présentée en deux volets : la couleur et le noir et blanc.

La galerie est ouverte sur rendez-vous les mardis et jeudis de 18h à 20h et les dimanches de 15h à 18h

Contact :expo@splx.be
Leslie Rasson 0474/367.682

INTERVIEW ARTISTES

Dans le cadre de cette exposition,  chaque artiste exposant s’est prêté au jeu d’une mini interview.   Les artistes s’exprime au sujet leurs  influences , techniques de création, exposition idéale .   

LES ARTISTES

[ JORDAN DELANOY ]

Jo Delannoy à 26 ans, est illustrateur et sérigraphe artisanal, diplômé en juin 2019 de l’Ecole Supérieure des Arts de la Ville de Liège d’un master 2 illustration-gravure. Il travaille l’image imprimée à travers la sérigraphie, la risographie et le tampon gravé. La narration visuelle est maîtresse dans son travail. Il sérigraphie ses images sur lesquelles se côtoient différents personnages, bâtiments et végétaux, qui racontent des histoires que le public peut s’approprier et réinterpréter à sa guise.

[ STEPHANE GERHARDS ]

Stéphane Gerhards, né en 1981 à Oupeye, a grandi à la campagne, dès son plus jeune âge, il s’est adonné au dessin qui est vite devenu pour lui un moyen d’expression et un refuge. Depuis lors, Stéphane reste un amoureux inconditionnel du dessin. Désormais, il s’exprime à travers un langage pluridisciplinaire en passant par la sculpture, la gravure, le dessin, le tatouage et, jadis, le graffiti… C’est la technique d’assemblage qui régit son œuvre.

[ Anissa PAILHE ]

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[ MICHèLE DIVOY ]

Serial Colleuse prise en flagrant délit, Michèle/Mineige Divoy, armée de ciseaux de brodeuse et d’un stick de UHU, fait valser les masques de la morale et de la religion dont l’Histoire nous affuble. Elle se plait à coiffer ses regardeurs d’un bonnet d’âme, au risque de se voir renvoyer au coin.

[ CINDY EVEN ]

Je m’appelle Cindy Even, j’ai 42 ans. Élève à l’académie Royale des Beaux-arts de Liège durant mes secondaires, j’ai changé d’orientation pour devenir éducatrice spécialisée. Je suis revenue au dessin depuis 3 ans en revenant à l’académie en cours du soir.

[ Lunatic ]

Lunatic est une artiste liégeoise, son travail consiste à utiliser des photos qu’elle prend dans sa vie de tout les jours et à les modifier complètement pour rendre quelque chose de très abstrait et coloré. A la frontière entre le Glitch art et le psychédélisme, ses fonds surchargés sont des paysages dans lesquels on peut se perdre, chacun y voit quelque chose de différent.

[ DOP ]

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[ Crab Cut ]

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[ Suzanne Del Puppo ]

De 2009 à 2019, Suzanne Del Puppo fréquente l’Académie des Beaux-Arts de Liège où elle pratique le dessin, la sculpture et la sculpture texture. Son œuvre ne découle d’aucune source d’inspiration, elle se construit elle-même au gré des formes et personnages qui y apparaissent selon le principe de la paraéidolie. Ce procédé consiste à discerner des structures signifiantes dans la perception de taches ou « brumes » nuancées de gris. Ici, le point de départ est constitué de traits, croquis rapides d’attitudes de modèles vivants. L’objectif est d’être happée par un sentiment de surprise tout le long de la création de la scène.

[ mathilde manka ]

Mathilde Manka est née en 1994 à Liège, probablement dans une Fiat Panda en double file rue Paradis (Ref. necessaire).
Elle peint depuis en hommage aux hommes qui la rendent triste ou les objets qu’elle trouve beaux parce qu’ils brillent.
En 2019, elle s’est installée à la capitale pour assouvir ses ambitions monarchiques mais trouve régulièrement refuge (ainsi que des hommes qui la rendent triste ou des objets qui brillent) à Liège.

[ Thierry GROOTAERS ]

Qu’on ne s’y trompe pas, si les résonances Broodthartiennes dans son nom nous chatouillent l’oreille, elles n’ont rien à voir avec l’approche artistique du grand Marcel. Thierry Grootaers n’a rien d’un conceptuel pur et dur. Le métier, lui, il connait. Il sait dessiner, il manie le pinceau et les couleurs sans complexe pour en extraire des compositions élaborées. L’effacement et l’ajout sont clairement revendiqués et font partie intégrante de son processus pictural. Son terrain de chasse privilégié c’est son quotidien, c’est là qu’il décline le mieux sa poétique. En bon chroniqueur de surface, il endosse l’habit de l’anthropologue pour mieux s’attarder à décrypter, non sans humour, nos us et coutumes journaliers.

[ REGIS GERMAIN ]

Non initié et sans bagage académique, Régis Germain pratique la peinture de manière autodidacte en travaillant par instinct et improvisation. Sans influence majeure, il retranscrit des émotions et des ressentis à traversun univers brut et naïf.

[ Marie breuer ]

Graphiste de formation, Marie Breuer a prolongé ses études en suivant des cours du soir d’illustration pour finir par devenir, par un heureux hasard, motion designeuse. Elle n’a ensuite cessé de passer de l’illustration au motion design, et à ses heures perdues, de créer des petits personnages bizarres, gentils, farfelus ou juste mignons.

[ COCO LOKA ]

Diplômée de la section Bande-Dessinée de Saint-Luc, ma passion s’étale au dessin en général.
Inspirée par beaucoup d’oeuvres japonaises et le milieu de la BD indépendante et underground, je m’essaye à toutes sortes de techniques. J’aime faire ressortir un aspect “fait main” dans mes rendus, le domaine
de la micro Édition m’ayant permit de prendre connaissance de plusieurs techniques d’impressions me permettant ce genre de résultats.

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